Sa longue silhouette dégingandée, sa voix naturellement proche de celle de son mentor Howlin’ Wolf et son parcours personnel en faisaient l’incarnation contemporaine d’une certaine idée du bluesman “à l’ancienne”. Décédé le jour même où un documentaire qui lui est consacré devait connaître sa première projection, il a chanté et vécu le blues jusqu’à son dernier souffle.
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